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Photo du rédacteurBenjamin Mathieu

Tiers-lieux, des « communs de proximité » à défendre

Dernière mise à jour : 11 oct. 2023

De plus en plus de tiers-lieux voient le jour en France, on en compte plusieurs milliers partout en France. Phénomène tendance ou véritable dynamique de "communs" dans les territoires ? Pendant une heure, « C’est le moment » cherche à saisir ce que les tiers-lieux peuvent apporter et comment il est possible de les préserver.



Crédit Photo : Plateau Urbain à Césure (Paris)





Qu’est-ce qu’un tiers-lieu et qu’est-ce qu'il n’est pas, est-il forcément « solidaire », quels sont les modèles économiques possible, le monde de l'entreprise y a-t-il sa place, comment s'articule les relations avec les élus locaux, qui représente vraiment France Tiers-lieux,... ?


La multiplications des ces processus, qui s'incarnent souvent par un lieu, sur tout le territoire (dans les métropoles comme dans le monde rural et y compris en Outre-mer) rend désormais les tiers-lieux incontournables, au point d'être récupérés par la sphère politique. Cette forte dynamique pose aussi d'innombrables questions sur leur avenir, leur gestion et comment préserver le liens qu'ils nouent avec les communautés locales qu'ils touchent.


Pour « C’est le moment », on en discute avec :


Benjamin Coriat, co-président du collectif des Économistes Atterrés, vice-président de la Coop des communs


Ameline Bunle, directrice et fondatrice de la Piscine, tiers-lieu basé à Maxéville, près de Nancy, en Meurthe-et-Moselle. Aussi la directrice des Petits Débrouillards pour les Régions Hauts-de-France, Bourgogne-Franche-Comté, Grand-Est


William Dufourcq, directeur et délégué Tiers solidaires au sein de l’association Aurore, et directeur du site des Grands Voisins.


Une émission coanimée par Benjamin Mathieu et Philippe Lesaffre, mise en onde par Emmanuel de Miscault.


Le Moment est lui-même installé au cœur de Césure, le tiers-lieu géré notamment par Plateau Urbain, autrefois l’université de Censier Paris 3 Sorbonne-Nouvelle. 180 structures, en majorité associatives, s’y côtoient désormais, tout en se mélangeant avec des étudiants.

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